Nom : Azarov
Prénom : Adrian
Origines :  Sang-mêlé d'origine russe
Date de Naissance : 17 Avril 1990
Profession souhaitée : Concierge à Poudlard
Diplôme : Equivalents des BUSES et ASPICS
Ancienne maison : Durmstrang
Animal de compagnie (Optionnel) : Un ours nain pas plus grand qu'un gros matou du nom de Jova.

PHYSIQUE
Adrian, Adrian, Adrian. A quoi ressembles-tu Adrian? Parfois, on le compare à un géant. Rien à voir avec les mythes des Grecs, ou leurs cousins de ce monde magique, seule la grande taille lui permet ce surnom. Il faut dire qu'il en est fier de son mètre quatre vingt-dix. Parfois, sa silhouette effraie les gosses rebelles. Vous vous demandez sûrement pourquoi. C'est bien simple, Adrian -en plus d'être gigantesque- possède la carrure d'un athlète de l'ancienne Olympe. Ses heures passées à garder son corps en bon état l'ont gratifié d'une musculature qui fait frémir les mauvaises têtes.

Botre grand homme a la peau mâte, d'un beau caramel. Véritable contraste avec son origine russe. Il n'est aucunement blanc comme un cachet d'aspirine, ses cheveux ne sont pas clairs, tout comme ses yeux. Un tatouage en forme de dragon ronronne sur son torse, alors que deux loups se battent en duel sur son avant-bras. Deux dessins qui lui tiennent à cœur. Quelques cicatrices parcourent son corps, souvenirs de son passé de gardien de dragons. Eh oui, il n'a pas froid aux yeux le Adrian!

En parlant d'yeux, parlons des siens. Deux iris ténébreuses qui renferment la malice et le goût de l'inconnu. Elles peuvent parfois se montrer dures et froides comme les pierres d'une montagne, ou brûlantes comme le feu des volcans. Ils s'accordent, le plus souvent, avec la beauté singulière de ses traits. Son visage n'a aucun mal à retranscrire ses sentiments. Ses cheveux sont bouclés et poussent dans tous les sens, mais il n'aime pas les couper. Après tout, ce côté sauvage lui va bien.

Niveau vestimentaire, Adrian aime le confort, il ne cherche pas compliqué. Le simple lui va bien. Un simple pull vieux, ou même usé, il le préfère à une chemise. Ce n'est pas sa tenue qui va ravir le regard, après tout, ce ne sont que des bouts de tissus.

PSYCHOLOGIQUE
Adrian, Adrian, Adrian. Qui es-tu Adrian? Témoin d'une enfance avec des parents qui ne semblaient pas savoir qu'ils avaient un gosse, il a appris à être autonome et à s'occuper de lui sans chouiner. Il aime tout ce qui touche à l'art, il a développé un côté créatif qui lui va bien et qui lui permet de s'échapper dans un autre monde qu'il crée un peu plus chaque jour. Mais attendez, nous sommes en train de décrire le petit Adrian. Pourquoi pas le grand? C'est bien plus intéressant.

Bien le Grand Adrian. C'est un homme calme et bien dans sa tête, enfin à quelques détails près. Parfois, il a des sauts d'humeur et s'en va s'isoler dans la nature pour ne pas s'énerver contre le monde entier. Ça? Juste une conséquence de sa vie pas facile, facile. Mais oui, Adrian est un aventurier qui n'a pas peur de se rompre le cou lors de ses explorations, mais il n'est pas un débutant. Il pratique de nombreux sports et étudie la faune et la flore.

Ajoutons à cela qu'il peut être impulsif quand on vient le taquiner sur des sujets trop sensibles et que, lorsqu'il est un peu trop joyeux avec l'alcool, il a tendance à chercher la bagarre. Mais parlons de choses plus normales avant que je ne vous effraie. Adrian est adorable avec tout le monde, il cherche toujours à faire la conversation et adore plaisanter sur des sujets divers et variés. Protecteur envers ses proches, c'est un vrai nounours et bouclier humain, oui il faut le voir sans son t-shirt. Bon il peut se montrer un borné, mais comme tout le monde après tout.

Adrian est une personne qui a besoin qu'on lui montre qu'on tient à lui, que ça soit par des gestes anodins ou un simple sourire, c'est rassurant pour lui. Il reste toujours créatif et est un dieu dans le domaine sportif, ses compétences n'ont fait que s'améliorer.

Mais je sais qu'il y a quelque chose qui vous intéresse beaucoup. Et côté cœur alors? Adrian est un véritable débutant sur cette piste là, il aime les femmes, il n'y a pas de doutes là-dessus mais se retrouve légèrement perdu en leur présence. Chose qui lui attire les moqueries de certains. L'amitié, il connaît, il n'y a pas de doutes là-dessus, mais jamais on ne lui a appris à aborder une femme pour autrement.

Que je vous résume tout cela en une phrase. Adrian est un ours tout doux mais qui sait montrer les griffes.

« Adrian, tu es irrécupérable ! » Le garçon de huit petites années « tait recouvert de boue des pieds à la tête. Un large sourire innocent étirait ses lèvres alors que sa mère contemplait les dégâts. Ces beaux vêtements du dimanche étaient souillés par l’aventure à l’improviste de son fils. « Mais maman ! Je voulais voir les dragons ! » Nouveau soupir et regard lourd de sens au père qui lisait confortablement son journal, ne se souciant guère des disputes dans la cuisine. Nikolai Azarov n’avait jamais rien interdit à son fils, surtout quand ce dernier s’amusait aux choses dangereuses. C’était une source de désaccord avec sa femme. Elle voulait le savoir en sécurité alors que son mari voulait le voir gravir les échelons à l’aide de sa force et de sa vivacité d’esprit. « Adrian ! Tu ne retournes pas dehors ! Adrian ! » La mère soupire encore, la porte claque et le paternel sourit derrière son journal.

« Il ira à Durmstrang ! Je refuse de l’envoyer dans cette Ecole de sorciers de pacotille ! » Les poings s’écrasaient sur la table et un combat de regards s’en suivit. « Adrian n’est pas ton jouet ! Tu ne l’enverras pas là-bas pour vivre ta gloire passée ! » Et entre ses cris se trouvait Adrian, ses yeux suivaient les joutes verbales comme s’il s’agissait d’un match de tennis. Ca ne semblait jamais vouloir prendre fin, il n’y aurait jamais un terrain d’entente. Les arguments aussi stupides que brefs valdinguaient au visage de l’autre. La frontière était mince entre les coups. Les traits étaient enlaidis par la haine et les yeux brûlaient de cette rage si particulière. Le père prônait l’éducation par la pratique, l’audace, l’adrénaline de l’inconnu, alors que la mère défendait l’apprentissage par la théorie, la sagesse et la patience. Le discours d’une ancienne Serdaigle. Une assiette finit par être brisée contre le mur et Adrian les observa, toute voix s’était tue. Et dans ce silence d’après-guerre, sa petite voix retentit. « Je veux aller à Durmstrang. »

« Allez MacFusty ! Bouge-toi ! » Les balais filaient dans le ciel dans une danse surprenante qui paraissait irréelle. Les cris des joueurs étaient de véritables échos aux oreilles des spectateurs qui regardaient, ébahis, le souaffle volait de mains en mains. Un cognard traçait sa route sur le terrain avant qu’une batte ne le dérive, l’envoyant valser contre l’épaule d’un poursuiveur. La silhouette fière d’Adrian se tenait droite sur le balai, son sourire satisfait étirait son visage puis il reprit son rôle, à l’affût du moindre détail. Il se faisait vif et discret, frôlant le sol pour mieux remonter, jouant l’atout de la surprise pour déstabiliser l’adversaire. « MacFusty ! Fais gaffe à… » Sa phrase mourut sur ses lèvres quand un élève le percuta de plein fouet. Son balai s’échappa et Adrian subit une lourde chute, ses os craquèrent douloureusement. Un cri résonna et l’entraînement prit fin. Des murmures inquiets se firent entendre. « Mais il n’a rien ! Debout gros fainéant ! » Une main lui attrapa le poignet et il fut bientôt sur pieds. Oublié la douleur, il riait déjà. Hélas son hilarité s’envola quand un groupe de filles s’approcha en gloussant. Adrian fut abandonné par MacFusty, cette dernière lui adressa un regard moqueur. Le jeune Azarov se frotta l’arrière du crâne, cherchant quoi dire face à tous ces gloussements. Mais la gêne fut gagnante et il décida de prendre la fuite. « Alexis ! T’as ma baguette ! »

« Il va s’échapper ! Attrapez-le ! » Toutes les têtes se tournèrent vers un marchand à l’accent hongrois. Il semblait complètement paniqué, ses cheveux volant dans tous les sens. Devant lui, un ourson muselé et chaîné au cou courait entre les jambes des passants avant de se heurter à une paire de bottes crottées. Adrian baissa les yeux vers l’animal, coupant court à la conversation qu’il entretenait avec Alexis. L’ourson le regarda de son regard ébahi, mais son propriétaire finit par lui mettre la main dessus. « Te voilà toi ! Tu ne perds rien pour attendre sale bête ! » Adrian échangea un regard avec son amie. Cette dernière engagea la conversation avec ce marchand alors qu’Azarov rabattait son capuchon sur son visage. Un éclair rouge jaillit de sa baguette et le Hongrois s’effondra. Adrian se saisit de la bête et détala dans les rues. Son rire résonnait, tout comme celui d’Alexis. Ils finirent par s’arrêter dans une ruelle, retirant les entraves de l’ourson. MacFusty prit la petite chose dans ses bras. « Je vais prendre soin de ta petite chose. » Adrian sourit. « Tu ne lui donnes pas un nom ? » Un regard fut échangé. « Jova. »

Le dragon dormait paisiblement dans sa cage, de l’épaisse fumée s’échappait de ses naseaux. Ses écailles d’un beau noir brillaient de mille feux face à l’éclat du soleil. Et devant ces barreaux de fer se trouvait Adrian. Son haut était troué par endroit, certains morceaux fumés encore, tout comme ses cheveux. Ses bras ainsi que son torse étaient poissés de sang, le sien, les profondes griffures écarlates contrastées avec la peau blême de son visage. « Mon gars, t’es un grand malade ! » Une main s’abattit sur son épaule alors qu’un sourire béat ses lèvres. « C’est pour impressionner ta belle ? » Il le poussa presque sèchement son camarade. « Alexis est comme ma sœur abrutie et elle est à Londres. » Une tape à l’arrière du crâne et il taillait sa route dans la forêt. Bordel, c’est vrai que ça faisait mal.

Adrian avait le cœur lourd dans sa poitrine et sa gorge était nouée sous toute cette tristesse. Jamais il n’aurait cru cette situation possible. Son poing tremblait avant qu’il ne frappe à la porte. C’était bien la première fois qu’il paraissait aussi faible. Après tout, on venait de lui annoncer que sa sœur de cœur avait disparu quelques jours plus tôt. On lui avait donné une adresse et un nom, il y avait des affaires à récupérer paraissait-il. Une femme, magnifique, apparut sur le seuil de la porte. Hélas la fatigue enlaidissait ses traits. « Tu dois être Adrian. » Il hocha doucement la tête, il n’était absolument pas à l’aise. « Alexis m’a toujours dit que tu étais en quelque sorte son père, il me paraît logique que tu le prennes sous ton aile. » Un sac lui fit tendu ainsi qu’une cage. Il pouvait entendre les cris plaintifs de Jova, cet ours nain. Le petit animal semblait tout aussi triste que lui. La porte claqua et il sursauta. Bien, on ne voulait plus de lui ici. D’un pas lent, il rejoignit les marches pour s’y asseoir. « Eh mon gars, ça va ? » Ses doigts ouvrirent la grille et la boule de poils bondit dans ses bras. Il la serra contre lui, laissant une larme couler. « Je te promets qu’il ne t’arrivera rien. »

Les doigts étaient liés, étroitement serrés. Les regards ne s’étaient plus quittés depuis de longues heures. Il refusait de la laisser partir. Et pourtant, sa mère était dans son lit d’hôpital, pour quelques dernières minutes encore. Les larmes avaient souillé le drap blanc et Adrian était à genoux devant elle, ne cachant plus son désespoir. La maladie avait réussi à dévorer celle qu’il chérissait le plus au monde. Un sourire tendre étirait les lèvres de sa mère, cette dernière vint lui caresser la joue. « Tu es devenu un si joli garçon, ne gâche pas ça Adrian. Tu mérites une vie heureuse, arrête de la risquer… » Elle reprit son souffle et il était presque prêt à appeler l’infirmière, mais elle le lui interdit. « Je veux que tu m’écoutes jusqu’au bout Adrian. J’aimerais que tu rejoignis Poudlard, le poste de concierge vient d’être libéré, c’est ce qu’il te faut. Par pitié mon fils, je veux te savoir en sécurité là-bas, c’est un si joli endroit. » Les paupières s’étaient fermés sur les yeux et le dernier souffle était donné. Il vint lui embrasser tendrement le front. « Je te le promets maman. » Et il fondit en larmes contre elle.

Adrian nourrissait tranquillement Jova avec quelques bouts de saumon. Le petit ours avait posé ses pattes sur ses cuisses pour se faciliter la tâche. Quelques élèves regardaient la scène attendris, mais il les chassait rapidement, leur rappelant qu’ils avaient cours. Le brun avait respecté les derniers souhaits de sa mère, et malgré cette vie un peu trop paisible pour lui, il ne le regrettait pas. Peut-être qu’elle avait raison lorsqu’elle lui avait dit qu’il n’avait pas besoin de frôler la mort pour se sentir vivant. Déjà trois longues années qu'il le pensait...

Prénom : La seule et unique Unicorn!
Âge : 17 printemps
Personne sur votre avatar : Bob Morley
À l'avenir, accepteriez-vous que le prénom de votre personnage soit doublé ? : Nan.
Où nous avez-vous trouvés ? Magie.

"C'est un drôle de type, mon concierge, vous savez. Il lit toutes mes lettres; il les décachette et les recachette." Raymond QUENEAU

Félicitations ! Nous sommes ravies de vous accueillir au sein de notre équipe au poste de Concierge !

Mais avant de commencer à jouer, n'oubliez pas de faire un passage ICI et LA. Pendant ce temps, nous nous occupons de vous donner les accès à votre bureau.

Etre concierge à Poudlard ne sera pas une mince affaire, il faudra être ferme et juste pour tenir ces petits chenapans ! Cependant, nous sommes certains que vous serez à la hauteur.

Trêve de bavardage, il est temps pour vous d'aller rejoindre le banquet où se trouvent déjà les élèves et les professeurs pour festoyer.