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Dennis Crivey, agent à la BIPM [Validé]

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Sujet: Dennis Crivey, agent à la BIPM [Validé]
Sam 6 Mai - 14:52





Dennis Crivey



Etat civil



Nom : Crivey
Prénom(s) : Dennis
Année de naissance : Le 28 novembre 1971.
Origine : Né Moldu, Anglais.
Profession : Auror (et inspecteur de police) à la BIPM (la Brigade Intégrée à la Police Moldue).
Célébrité(s) proposé(s) : Max Riemelt


Description



CARACTÈRE
Comment se décrire ? C'est toujours une étape particulière pour les entretiens d'embauche. Enfant, j'étais un gamin toujours souriant et très énergique. Aux Cubs Scouts, on m'avait surnommé Jovial et mes parents avaient alors avoué que cela m'allait comme un gant. La découverte de la magie amplifia nettement mon côté hyperactif et je devint aussi très curieux...

Mais il y eu très vite les prémisses de la guerre. Ce monde était devenu hostile et je regrettais parfois d'être né sorcier. La perte de mon frère m'acheva et il me fallut au moins deux longues années pour être moins méfiant de mes propres pouvoirs. C'est à ce moment là que je pris la décision de devenir Auror, pour empêcher l'histoire de se reproduire et être un acteur de ce monde. Depuis, je fais de mon mieux pour le rendre meilleur. Je ne cherche pas spécialement à monter en grade mais je sais parfois diriger quand cela est nécessaire. Je suis reconnu pour mon sens du respect et de la politesse tout comme mon côté serviable et souriant.

En dehors de cela, je suis très heureux. J'ai un compagnon formidable et nous vivons ensemble dans la banlieue Londonienne. Miles & Desmond, nos fils adoptifs, nous rendent terriblement heureux et fiers. Que demander de plus ? Mon rêve je le vis déjà. Maintenant, j'espère que mes fils atteindront les leurs.

PHYSIQUE
Colin et moi nous sommes toujours ressemblé à tel point que des fois je me demande en me regardant dans le miroir si nous aurions continué à ressembler à des jumeaux malgré nos deux ans d'écart. Aurait t-il eu lui aussi un visage plus fin et plus 'sec', marqué par les années de guerre ? Aurait-il eu la même barbe qui pourrait presque devenir aussi fournie que celle d'Hagrid ou du père Noël si je ne la rasais pas régulièrement (même si j'avoue, je devrais encore la raser plus souvent...) ? Il n'aurait certainement pas gardé ses cheveux aussi courts et bien coiffés comme les miens... Quoique... Je suis certain qu'il aurait fini par réussir à devenir un photographe magique hors pair et qu'il aurait sans doute dû soigner son apparence lui-aussi.

En attendant, mes yeux verts-gris s'assombrissent encore comme s'il pleuvait à l'intérieur de moi à chaque fois que je pense à ce qu'aurait été sa vie. Parfois, Samwell m'avoue se demander si je porte des habits sombres parce que je me mens et qu'au fond je ne vais pas aussi bien. Et pourtant non, je vais bien. Certes je choisis des habits aux tons sombres, simples et sans fioritures mais je ne réfléchis pas profondément aux raisons sous-jacentes. Je suis toujours bien habillé et je veille à mon apparence, n'est-ce pas le signe que je vais bien et que je m'en sors bien ? Toute notre génération de sorciers est marquée par la guerre et d'ailleurs j'ai gravé le prénom de mon frère discrètement sur mon poignet, sous ma montre que je ne quitte jamais. Comme ça, il me reste un peu de lui pendant que je continue d'avancer le regard haut et la démarche assurée, vêtements moldus sur le dos en étant fier de qui je suis, dans tous les sens du terme.

HISTOIRE
Je suis né à Bredfield, un village tranquille du Comté de Sussex. En tout et pour tout, nous devions être 400 habitants. Dans un petit village comme celui-ci, tout le monde se connaît. J'ai été dans la même école que mes amis et je partageais avec la majorité d'entre eux mes activités chez les scouts marins à Woodbridge (la ville voisine), la 5éme unité. On était affiliés à la Royal Navy, si c'est pas classe ça. Foulard blanc unis noué au cou, nous avons navigué sur la rivière Deben que cela soit en voilier ou en simple canoë. Dès notre plus jeune âge, on apprenait à nager dans l'eau courante, à éviter les noyades et aussi à tenir en équilibre sur nos divers bateaux. Aujourd'hui encore, j'en garde d'immenses souvenirs.

En dehors du scoutisme, je passais quasiment tout mon temps avec mon frère Colin. Ensemble, nous faisions des parties de baseball avec nos amis et nous aimions faire de longues balades dans le village que cela soit à vélo, en skateboard, en roller ou même en trottinette. Lorsque nous n'étions ni à l'école ni occupés à vagabonder, on aidait nos parents. Notre père, Jefferson, était un laitier avec qui nous aimions faire les tournées pour distribuer le lait dans tout le village à bord de sa camionnette que chaque bosse secouait. Notre mère quant à elle était vétérinaire et on l'accompagnait souvent pour voir les naissances des animaux des fermes environnantes. Tout était parfait...

Jusqu'au jour où Colin reçu la fameuse lettre. C'était un sorcier. A vrai dire, on l'avait toujours su car il arrivait toujours à faire des choses étranges. Par exemple quand notre mère voulait lui acheter un habit qui lui déplaisait, ce dernier disparaissait toujours étrangement (au point qu'après plusieurs fois, elle renonça de le forcer à porter des habits « moins débrayés ».) Ainsi dû t-il partir à Poudlard. Nos parents racontèrent qu'ils avaient trouvé un internat londonien avec des cours de photographie... Et moi je m'ennuyais, seulement rassuré par ses lettres. Puis j'étais un peu jaloux. Mon seul réconfort c'était que moi j'étais à la maison avec mes parents et mes amis, et que je pouvais tous les week-end aller naviguer sur le Deben. D'ailleurs mon frère me demandait toutes les semaines les activités que nous avions faites et s'il pourrait faire le camp avec nous.

Deux années plus tard, je compris son impatience. Moi aussi j'étais un sorcier. Pas le genre qu'on remarque de suite. Tout au plus j'avais remarqué que des fois quand je trouvais un de mes magazines abîmé, le lendemain il était comme neuf. Je pensais même que c'était mon imagination ...mais non. Moi aussi j'ai acheté mes fournitures au Chemin de Traverse, j'ai reçu ma baguette et finalement j'ai pris le Poudlard Express. Puis j'ai rencontré Nessie. C'est ainsi que j'ai appelé le Calamar géant. Nous étions dans le canoë quand j'ai vu son ombre non loin de nous puis je me suis penché de trop. C'était une erreur de gamin mais j'avais à peine onze ans. Par chance, mes années de scoutisme marin m'ont permis de nager jusqu'au canot le plus proche où je me suis hissé. J'ai même eu droit à l'immense veste d'Hagrid sur mes épaules. Puis je fus répartis à Gryffondor comme Colin, des étoiles plein les yeux.

Cette année fut tout en paradoxe. D'abord il y eut l'émerveillement et l'excitation. J'arrivais durant l'année à ne pas manquer. En effet, c'était l'année du tournoi des 3 sorciers. Si tout le monde critiqua qu'Harry fasse partie de ce dernier, je partageais l'avis de Colin comme quoi il ne mentait pas en disant qu'il n'avait pas mis son nom dans la coupe. Si les jumeaux Weasley avaient échoués, comment aurait-il pu en étant plus jeune y arriver ? Ensemble, on essaya de l'aider comme on pouvait mais nous étions malheureusement maladroits. Dans les mêmes temps, je découvrais que si je gérais sur la mer, j'avais le mal de l'air sur un balai. Je vomissais tellement souvent en cours que Madame Bibine termina par me confier la mission de distribuer les balais et les ramener en fin de cours. Pendant ce temps, elle me faisait des devoirs sur l'histoire de ces derniers et du quidditch. Je préférai nettement la lecture à la pratique. En première année, mon dada c'était la botanique. Cela me rappelait certaines activités avec les scouts et si j'avais parfois un pincement au cœur, c'était une espèce de réconfort que de s'investir dans ce cours.

Cependant cette année qui avait si bien commencé se termina sinistrement. A mes dépends, j'appris que le monde sorcier était aussi cruel et dangereux que celui des moldus. Un élève avait été assassiné, un professeur n'était pas celui qu'il devait être et un terrible sorcier était de retour. J'apprendrai plus tard qu'il avait déjà fait du mal à mon frère deux années auparavant au travers un ''souvenir'' de lui-même, chose qui me fut alors cachée pour ne pas m'effrayer. De cette fin d'année, je n'en retint qu'une hantise et des cauchemars que rien n'apaisa l'été suivant, pas même le camp scout auquel nous pûmes participer.

Revenir à Poudlard fut moins agréable. De plus, les cours pour se défendre ressemblaient à une vaste blague et je me sentais démuni et anxieux. Ce n'est qu'après quelques mois (et la création de l'Armée de Dumbledore), que je fus rassuré grâce aux cours d'Harry. Je devais être le deuxième année le plus performant en Défense contre les Forces du Mal de l'école. En fin d'année j'étais même déjà capable de lancer un Patronus. C'était un truc de dingue que seul Potter pouvait faire : transformer un petit gryffondor apeuré en un garçon qui était convaincu de pouvoir se défendre. Et je ne le remercierai jamais assez.

Car c'est à la fin de ma troisième année, alors qu'on pensait remonter la pente, que la guerre s'enclencha. Dumbledore était mort, le Ministère fut envahi durant l'été et les ténèbres étaient telles que nos parents, bien que moldus, décidèrent de nous envoyer en sécurité en France. De toute façon, ils avaient reçu un courrier de McGonagall les enjoignant à ne surtout pas nous envoyer à Poudlard. Nous débarquâmes alors chez des cousins éloignés que l'on avait pour ainsi dire jamais vus. Ils n'étaient pas méchants mais la barrière de la langue était rude. Si notre tante et notre oncle n'avaient pas parlés anglais, je crois qu'ils m'auraient jamais convaincu d'intégrer l'école de magie française (où une de nos cousines allait, les autres n'ayant pas de pouvoir magique). Ainsi j'ai pataugé cette année là. Surtout qu'au milieu de l'année, Colin s'évapora et je ne su qu'il avait intégré la résistance qu'un soir par hasard ou un autre comparse anglais écouta Potter Veille et que je reconnu sa voix. Mais je ne le vis plus jamais en vie.

Le retour en Angleterre fut rude. Si beaucoup se réjouissaient de la fin de la guerre, je m'enfermais dans une dépression sans nom, refusant même de retourner à Poudlard. En novembre, à force de négociations de la part de mes parents, je revint à Beauxbâtons, recommençant l'année précédente que j'avais échouée à cause de la différence de langue. Et mois après mois, j'appris à revivre. Et je me fis une promesse : que cela ne se reproduise jamais. Je voulais ainsi être un Auror et je m'en donnais les moyens. J'eus de nombreux Optimal en fin de scolarité et c'est en Angleterre que mon cœur me ramena. Cependant, ayant grandi une partie de mon adolescence en France, mes camarades m'avaient expliqués que des Aurors étaient affectés dans la police moldue pour les aider dans leurs enquêtes et surtout préserver le secret magique lorsqu'ils faisaient partie d'une affaire. C'était le chaînon liant le monde moldu et le monde sorcier. Et c'était clairement ce qu'il me fallait devenir.

Ainsi, après quelques années comme Auror (trois pour être exact), mon supérieur me proposa de mettre mon idée en application. Après maintes négociations entre le Ministre de la Magie et le Ministre Moldu, la BIPM (la Brigade Intégrée à la Police Moldue) fut créée. Nous étions quatre agents pour commencer et nous sommes désormais une petite vingtaine à œuvrer à travers le royaume.

Durant ses années plus calmes, un ancien camarade de Poudlard refis son apparition. Samwell. C'était un ami proche de poufsouffle avec qui j'aimais particulièrement faire mes devoirs et le revoir fut un immense bonheur. Il travaillait désormais comme Médicomage à Sainte-Mangouste et ce fut après avoir été brûlé par des feux d'artifices trafiqués que je m'en rendis compte vu qu'il vint me soigner. De fil en aiguille, nous nous sommes revus et l'on s'est assez vite mis en ménage. Nos deux familles étant assez ouvertes et tolérantes, elles ne s'y opposèrent pas (bien au contraire).

Quelques années après notre mise en ménage, une mauvaise nouvelle m'arriva d'une amie fidèle de Beauxbâtons qui m'avait aidé à relever la tête après la mort de Colin. Elle avait des jumeaux (Miles & Desmond) et elle était malade. Incurable. Samwell l'a fit rentrer à Sainte-Mangouste en urgence mais ils ne purent rien faire pour la sauver. Inconsolable, je ne pus que lui promettre de veiller sur ses fils qui devinrent nos enfants adoptifs.

Ils étaient si petits et déjà atteints de cette sinistre maladie. Je ne sais combien d'heure Samwell et son équipe avaient fait des recherches sur cette dernière pour y trouver un remède. Petits, les jumeaux passèrent de nombreuses heures à Sainte Mangouste mais cela paya et depuis leurs huit ans, ils récupèrent de la vigueur. Cependant, Samwell préfère les garder à l'oeil et il a prévenu l'infirmière de Poudlard de veiller à ce qu'ils prennent bien leurs traitements. Mais maintenant ils deviennent grands et il sont déjà à la fin de leur première année à Poudlard. Évidemment ils nous manquent mais je sais qu'ils y sont désormais en sécurité. Bientôt ce serait les retrouvailles... En attendant, il reste un mois avant d'être un peu en congés. Et il promettait d'être à la fois rude et passionnant.

GOÛTS ET AMBITIONS
- Adore sa famille et son chien
- Geek, joue souvent à Wow avec ses collègues moldus
- Fan de quidditch

RELATIONS AVEC LES AUTRES
Samwell Scamander : Mari
Miles & Desmond : Fils adoptifs
Annelise Delacroix : Collègue & parfois binôme

L'ATTENTE DU CRÉATEUR
J'ai longtemps joué Dennis Un chouette personnage mais ne vous sentez pas bloqués car je l'ai joué. Jouez le à votre sauce et amusez vous !
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