Nom : Malefoy
Prénom : Drago Lucius
Origines :  Sang-pur.
Date de Naissance : (Nous sommes en 2018; sachez qu'en Grande-Bretagne dans une classe, les plus âgés sont nés en septembre et les plus jeunes en août.)  5 juin 1980.
Profession souhaitée : Employé dans le service des usages abusifs de la magie, du département de la justice magique.
Diplôme : BUSE et ASPICS.
Ancienne maison : Serpentard.
Animal de compagnie (Optionnel) : Un chat noir, avec une petite tâche blanche en dessous de son cou. Il se nomme Comète.

PHYSIQUE
Des cheveux blonds, un regard froid, glacial et parfois bien vide, des traits fins et durs. Il n’est rien d’autre qu’un Malefoy. On le reconnait facilement lorsqu’on le croise, il a cette particularité qui vient de génération en génération, concernant cette peau pâle à en faire frémir plus d’un, ces cheveux d’un blond presque blanc. De ces yeux qui glaceraient le sang rien qu’en croisant son regard.  C’est ce qui le protège en réalité, et ce qui empêche les quelques personnes de s’approcher de lui, et ce n’est pas plus mal.
C’est quelqu’un qui s’habille de façon généralement chic. Vous ne le verrez jamais vêtu d’une robe de sorcier quelconque, ou bien de basse couture. Il est plutôt du genre à porter un costume noir, ou brun très foncé, voir bordeaux sûrement de temps en temps. Ca lui arrive d’être vêtu d’une cape, suivant le temps qu’il fait dehors, ainsi que de gants de haute couture  noir pour protéger ses mains pâles du froid, du mauvais temps ou encore du contact avec le sorcier face à lui, surtout s’il s’agit d’un né-moldu.
Il ne quitte jamais sa baguette qu’il a tout le temps sur lui, même lorsqu’il se trouve chez lui, ne la laissant jamais dans un coin. Une baguette souple, assez longue. Bois d’aubépine, crin de licorne, mesurant vingt cinq centimètres.
Drago est un homme assez grand, mais ce n’est pas non plus un géant, bien loin d’être comme Hagrid. Il est fin, mais avec le temps son corps s’est majestueusement dessiné. Physiquement, il a beaucoup de choses que certains pourraient envier. Malgré sa pâleur qui en ferait claquer des dents plus d’uns, Drago est bien loin d’être un homme cruellement maigre. Il n’est pas non plus enveloppé, simplement ce qu’il faut, là où il faut.


PSYCHOLOGIQUE
Concernant les goûts de Drago, dire ce qu’il aime irait beaucoup plus vite que dire ce qu’il n’aime pas. C’est quelqu’un d’assez complexe et qui n’aime pas grand-chose. Il a toujours été comme ça, mais il sait apprécier ce que la vie lui offre. C’est un fan de Quidditch, et depuis sa plus tendre enfance. Il a toujours rêvé d’être un des plus grands joueurs de Quidditch mais, malheureusement, sa maladresse et son don inexistant pour ce sport on fait qu’il restera simplement un fan passif. Il adore également les friandises, et se balade toujours avec des dragées dans la poche, et quelques patacitrouilles. Ses boissons préférées sont le jus de citrouille et le whisky pur feu. Mais il est vrai qu’à choisir, il prendra volontiers du jus de citrouille. L’hiver, ce qu’il aime faire par-dessus tout, c’est de se poser près de la cheminée, à lire les nouvelles du jour, ou bien un livre. Sa fête préférée est Halloween, et malgré son âge, il continue à faire la tournée des bonbons suivit de son fils. Il organise aussi souvent des soirées d’épouvantes en cette période, invitant ses amis et sa famille.
Il déteste lorsqu’on l’approche de trop, ou que l’on ne respecte pas sa « limite d’approche ». Ca l’insupporte lorsqu’on le touche à son insu. Il peut devenir très agressif et très coléreux.  Il peut entrer dans une colère digne de son nom. Pourtant, ce n’est pas grand-chose, mais c’est ce dont il a le plus horreur. Par contre, si vous êtes une personne proche, il est beaucoup plus tolérant. Mais concernant les étreintes, mieux vaut attendre qu’il vienne de lui-même car en général, si vous le prenez dans vos bras, il a tendance à se raidir et même à rendre l’étreinte mais de façon gêné et totalement coincé. Ce n’est pas un grand fanatique des sentiments, de l’amour ou même du reste.  Pourtant il le démontre tant qu’il peut, et à sa manière.

Il déteste les né-moldus et en a toujours eu une sainte horreur. Même après cette guerre mais, il ne le démontre pas. D’une certaine façon, il se force même a cacher ce dégoût, bien que certains agissements démontrent bien qu’il a toujours cette envie folle qu’ils retournent dans le monde qui leur appartient, et non celui des sorciers.

C’est quelqu’un d’assez sanguin, et impulsif. Il a le sang chaud et s’emporte facilement… pour un rien. La moindre chose qui le déplait peut finir en une guerre sans merci. Pourtant, il admet ses tords et reconnait qu’à chaque fois, il s’emporte pour rien. Mais il ne s’excusera jamais, pas de vive voix. D’une autre façon. Parfois, il peut devenir assez violent. Lorsque l’on s’en prend à sa famille, lorsqu’on s’en prend à lui et sans raisons valables ou justifiées. Il peut entrer dans des colères assez noires, mais il sait tempérer et n’a pas réellement le choix.

Il est bien loin du garçon de l’époque. Aujourd’hui, face à des problèmes, il ne fuira pas. Il ne fuira plus. Il n’a plus peur de la mort non plus, et sait très bien que c’est le cycle de la vie. Il a déjà accompli de grandes choses, et si demain il parvenait à mourir pour x ou y raisons, il n’aura pas peur. Pas pour lui du moins.  La seule chose dont il a peur aujourd’hui, c’est de tout perdre et de se retrouver seul. Il sait très bien que ça changera beaucoup de choses en lui, et qu’il serait capable de devenir une tout autre personne car … Rien ne le retiendrait ici bas.

Rusé et malin, c’est pourquoi le choixpeau l’a envoyé à Serpentard, et également son ambition phénoménale. S’il veut vous manipuler, il le fera divinement bien. Même un aveugle ne le verrait pas. Il sait généralement où toucher pour vous faire faiblir, où sont vos points faibles, où vous mordre pour vous empoisonner. Lorsqu’il veut quelque chose, généralement il l’obtient. Bien sûr, concernant ses rêves fous, c’est une autre histoire. Il est aussi discret qu’un félin prêt à bondir sur sa proie, aussi cruel qu’une vipère encerclant sa proie, prête à la tuer.

Il sait se trouver chaleureux et aimant avec les personnes qu’il chérit énormément. Bien sûr, n’étant pas du genre démonstratif, ce n’est pas celui qui ira faire des étreintes souvent, de lui-même ou dire à quel point il les aime. Mais il est très protecteur et généreux. Surtout envers son fils, pour qui il donnerait et ferait tout. Son unique fils, son sang, son héritier.
C’est quelqu’un de froid, qui n’exprime jamais ses sentiments aux personnes qui lui sont inconnus, ou même envers ceux qu’il a fréquenté à Poudlard. Il n’est pas lui-même, et se montre toujours comme l’être arrogant, méprisant qu’il était, ou même parfois distant. En général, il ne préfère rien laisser paraitre. Sauf parfois quand quelque chose l’amuse, mais c’est tout. Il ne souhaite pas que l’on utilise ses faiblesses ou sa force contre lui, bien que tout le monde doit se douter que si l’on s’en prend à son fils, il serait prêt jusqu’à la dernière femme, jusqu’au dernier enfant, jusqu’au dernier homme.

Drago est un grand séducteur. Il apprécie grandement la gente féminine et en être entouré. Mais, pourtant, ce n’est pas le genre à faire du tord à sa femme, du moins il le pense mais si un jour il se retrouve face à une sirène, honnêtement, il ne sait pas trop s’il serait assez fort face à ces viles tentatrices. Il aime séduire, mais il n’est jamais réellement tombé amoureux auparavant, quelques flirts oui, mais rien d’autres.

Drago est un homme complexe, mystérieux et plein de surprise, vous pourrez sans doute vous méprendre un jour le concernant.  Il est plein de réserve et de ressources.  Et puis, je n’ai qu’une chose à vous dire. « Draco Dormiens Nunquam Titillandus. »

Si vous regardez longtemps au fond des abysses, les abysses voient au fond de vous Une fois que le mal s’est imprégné de vous, il vous ait difficile de s’en débarrasser. Il est présent, constamment et vous dévore jusqu’à la moelle. Il vous tue, petit à petit. Il vous transforme en quelqu’un d’autre. Quelque chose d’inhumain, ces sentiments positifs que l’on éprouve lorsque nous sommes heureux, amoureux. Cette joie que l’on a lorsqu’on obtient quelque chose que l’on a voulu depuis longtemps.  Tous ces sentiments positifs disparaissent. Vous ne ressentez que la peur, le dégoût, la haine et la colère. L’envie de faire le plus grand mal à tous ceux qui vont contre l’idée de celui que vous suivez vous ronge. Vous êtes quelqu’un d’autre, vous n’êtes plus vous-mêmes. Vous êtes un monstre.

J’ai été élevé dans l’optique de devenir un fervent serviteur du Seigneur des Ténèbres. Dès mon plus jeune âge, mon père m’a inculqué les valeurs de notre famille ainsi que celles des ténèbres.  Et tout ce que je souhaitais, c’est de devenir l’un des plus grands sorciers de notre monde. Que l’on tremble chaque fois que l’on prononce mon nom.  Je voulais que l’on me respecte, et que l’on s’écarte de mon chemin lorsque je marche dans les rues. Je voulais que l’on me craigne, mais c’était une idée bien stupide car au final, quand on y repense, on se retrouve bien seul. Et aujourd’hui, je suis bien content que je ne me suis pas abstenu à mes rêves d’enfants. Mais quand nous sommes enfants, nous voyons les choses en grand.

J’ai été la fierté de mon père ainsi que de ma mère lorsque j’ai fait mes premiers pas à l’école de magie Poudlard. Ma répartition à Serpentard à provoquer l’euphorie de ma famille, qui ne pouvait qu’être fier.  Ce qui n’a fait que de faire grandir la confiance que j’avais en moi. Je me sentais intouchable, totalement supérieur et rien ne pouvait m’atteindre. Pourtant, cette façon de vivre et de voir les choses changea en l’espace de quelques années.  Prendre conscience de ce qu’est la vie, sortir de ce monde utopique. Je n’éprouvais plus les mêmes sentiments qu’avant. Je me transformais petit à petit. Je devenais aussi froid et détestable que mon père.  Peut-être aussi lâche que lui. Je provoquais, mais je fuyais. Pourtant, je continuais à croire qu’un jour, on tremblera lorsque l’on prononcera « Drago Malefoy ».

C’est lors de ma sixième année que tout bascula. Je n’avais plus autant d’assurance. Je fuyais sous la peur, je me montrais plus faible, plus vulnérable. Je n’étais plus aussi sûr de mes choix, de mes envies. La mort m’attendait à chaque coin de Poudlard. Elle me guettait, et je la sentais.  Je m’efforçais de réussir à bien ma mission. Maintenant que j’avais rejoins les rangs du Seigneur des Ténèbres, je ne pouvais plus faire un seul pas de travers, sinon la mort viendra m’envelopper de ses bras, je ressentirais sa douce étreinte, et elle m’emmènera avec elle pour vivre un amour éternel.  Je devais tuer Albus Dumbledore, sous les ordres du Seigneur des Ténèbres.  Le directeur était une menace, il faisait parti des personnes que craignait Tom Jedusor. Et une fois Albus Dumbledore éliminé, plus rien ne pouvait l’arrêter, plus rien ne protégeait Harry. Il était beaucoup plus vulnérable. Malheureusement, j’ai échoué cette mission, mais le Seigneur des Ténèbres n’en su rien. Severus Rogue l’élimina à ma place et c’est dès sa mort que le monde des sorciers a commencé à s’assombrir, et à se faire engloutir par les ténèbres. Harry Potter allait mourir.

C’est à ce moment là que ma joie s’est envolée, que mon bonheur a sombré dans les abysses. C’est à partir de ce moment là que je ne fus plus le même.Perdu et totalement partagé. Je ne savais plus si je voulais continuer à me battre. Je voulais la fin de Potter, il devait mourir. Je me devais de réussir à le ramener au Seigneur des Ténèbres, bien trop puissant pour que l’on puisse aller à son encontre. Je me devais de survivre et de ne pas faire parti de ceux  qui meurent sous la main du Maître. J’étais bien trop jeune, j’avais encore la vie devant moi. Mon heure n’avait pas encore sonné, je le sais.  Malgré que la Mort me guettait, que je la sentais. Elle était là, mais elle ne m’a pas eu.

Je fis pourtant parti de ceux qui ont tenté de prendre la poudre d’escampette, de se mêler à la guerre mais, pas trop. Lorsque j’ai compris que l’on ne pouvait pas en finir de Harry Potter, je savais alors que je devais simplement me retirer, avec ma famille. Que l’on devait fuir, et ne plus prendre parti. Nous les avons abandonnés en quelque sorte mais pourtant, à la fin de la guerre, nous étions là. Un grand soulagement, un énorme poids en moins sur la conscience. On savait que maintenant, nous pouvions dormir sur nos deux oreilles paisiblement sans que l’on ait peur que l’on vienne nous ôter la vie dans nos doux rêves.

Enfin, la conscience tranquille, c’est plutôt vite dit. On savait que pour ce que l’on a fait, nous allions être jugé. La mort, ou la liberté. Et bien heureusement pour moi, la liberté m’a embrassé.  Bien sûr, non pas sans conditions. Bien sûr, j’étais conscient qu’il allait avoir des conséquences, que j’allais être surveillé et que l’on ne me referait plus confiance. Bien sûr je savais, que la vie allait être difficile.  Mais je préfère qu’il en soit ainsi, plutôt que de me retrouver dans les couloirs de la mort, à attendre mon tour. Attendre qu’un détraqueur m’embrasse et me vole la vie que je chérie tant. Devenir fou, perdre la tête. Mourir lentement, mais sûrement.

Les années passèrent, le monde des sorciers s’est reconstruit peu à peu. J’ai fini par me fiancer, quelques mois plus tard, avec la fille des Greengrass, Astoria. Une femme, splendide et pleine de charme. Une femme douce, mais avec du caractère et un goût prononcé pour les gallions, et le luxe. Une réelle femme de famille de Sang-Pur.  Au début, il est vrai que je n’éprouvais rien pour cette femme. Je n’ai jamais vraiment appris à aimer qui que ce soit. Je suis un homme plutôt sauvage qui n’a pas de temps à consacrer à une dame, penser à construire une famille n’était pas dans mes priorités.  J’ai appris à l’aimer, j’ai appris à désirer certaines choses qui n’étaient pas dans mes plans d’avenir, du moins pas tout de suite.

J’ai fini par avoir un poste au sein du Ministère, après quelques années de calme. J’ai eu l’accord pour travailler au ministère en tant qu’employé dans le service des usages abusifs de la magie, du département de la justice magique. Une manière de me racheter, encore une fois et de prouver que je n’ai plus rien à voir avec le mal. Bien sûr, je suis conscient qu’à la moindre erreur, je serais probablement pointé du doigt, que l’on gardera toujours un œil sur moi. Mais cela ne m’empêche pas de vivre, au contraire.

Après notre mariage, Astoria ne tarda pas à m’annoncer sa grossesse. Une nouvelle qui, a ma plus grande surprise, m’a réjoui. Je ne m’imaginais aucunement père, et toutes les questions se posaient dès cette annonce dans ma tête. L’angoisse grimpait, j’étais un peu plus distant et un peu plus renfermé. Je fuyais, j’avais peur. Je me noyais dans le travail et j’en redemandais rentrer le plus tard possible à la maison, et de pas y penser. Malgré cette joie, j’avais incroyablement peur. Je ne voulais pas donner à cet enfant la vie que j’ai eue. Et bien heureusement, nous ne vivons pas en temps de guerre.  

La peur et l’angoisse se sont dissipées aux derniers mois. Je me sentais fin prêt. J’avais hâte de tenir dans mes bras cet enfant. Ma chaire et mon sang. J’ignorais si j’allais être un bon père, j’ignorais si j’allais être présent. J’ignorais comment je devais agir avec un bébé. Avec un enfant, le mien. Je ne sais jamais comment agir face à un élan de bonheur, à une chose nouvelle et pleine de joie dans ma vie. Peut-être devrais-je apprendre.

Scorpius. Scorpius Hyperion Malefoy. Ce petit bout d’homme m’a transformé. J’ai mûri en quelques sortes, j’ai beaucoup plus de responsabilités et je n’ai pas le droit à la moindre erreur.  Bien sûr, je suis énormément fier de lui. Mais vous savez, je ne suis pas ce père aimant qui le démontre. J’ai tout de même du mal, encore aujourd’hui à démontrer ce que je ressens vraiment, à l’exposer ou même à le dire. Je suis un handicapé, sentimentalement parlant. Je bloque, et je me trouve même ridicule.  Je le montre, oui peut-être, mais d’une façon bien à moi. Mais je me montre bien plus protecteur que mon père l’a été avec moi. Je me montre là, tout de même pour lui. Je lui inculque les vraies valeurs de la vie d’un sorcier. Bien sûr, je lui ai raconté mon passé, bien sûr qu’il sait d’où je viens, et qui j’ai été.  Bien sûr j’ai exposé ma jalousie envers Harry et le fait qu’il soit si célèbre, alors qu’il était destiné à mourir. Mais je lui ai rappelé que malgré tout, les Malefoy restent les meilleurs.

Aujourd’hui, je suis un homme meilleur, certainement différents des autres années, mais pas trop. Je sais qu’il y a tout de même certaines choses qui persistent, comme ce dégoût pour les sangs-impurs. Il y a toujours une part de ce que l’on était avant qui ne s’efface pas. Peut-être ne peut-on pas fuir notre réelle nature. Je sais qu’aujourd’hui, je n’ai plus aucunement peur de mourir car je sais que j’ai accompli de grandes choses, et que j’aurais une part de moi encore ici. Je sais également ce qu’est la joie d’avoir une femme fabuleuse, et un fils irréprochable et aimant. Je sais ce qu’est de vivre en liberté, d’être libre sans que la mort vous pende au nez. Mais, je sais évidemment que même moi, je ne suis pas à l’abri du monstre qui sommeille en moi.

Prénom : Sheeva.
Age : 21 ans.
Personne sur votre avatar : Tom sexy Felton.
Où nous avez vous trouvé ? PRD, je cherchais désespérément un forum où jouer Drago. Et je vous ai trouvé.  

Félicitations ! Nous sommes ravies de vous accueillir au sein des employés du ministère !

Mais avant de commencer à jouer, n'oubliez pas de faire un passage ICI et LA. Pendant ce temps, nous nous occupons de vous donner les accès à votre département.

Etre employé au ministère de la magie comporte certaines responsabilités, c'est pourquoi nous vous demandons beaucoup de sérieux dans votre travail. Nous ne doutons pas que vous relèverez le défi haut la main et saurez vous montrer professionnel et consciencieux pour veiller sur les sorciers du Royaume-Unis !

Trêve de bavardage, il est temps pour vous d'aller rejoindre votre bureau et de vous mettre au travail !