Nous sommes de la même année et nous nous sommes rapidement connues malgré nos différentes maisons. Une amitié s'est rapidement liée et la taquinerie était notre façon de nous apprécier. Lacey s'est aussitôt ajoutée à notre duo pour former un trio que je pensais inséparables. or, nos liens ont commencé à se briser quand tu m'as avoué aimer celle que je considérais comme ma sœur. Je n'allais déjà pas très bien à l'époque et toutes ces choses n'ont fait que s'empirer. A la fin de l'année, je ne t'adressais plus la parole et j'ai fuit sans donner de nouvelles. Je suis venue te voir pour couper les ponts, puis quand tout ceci s'est calmé, je suis venue me faire pardonner. Les liens se sont rapidement renoués et j'ai apprécié ta présence, un peu trop grandement, dans un plaisir charnel incontrôlé.Je t'ai demandé de clarifier les choses au bal de noël et voilà que nous formons enfin un couple durable, je l'espère.

Nous sommes amies depuis notre deuxième année, mais en fin de sixième année, nous avons franchi un cap que je pensais impossible. Nous avons formé un couple pendant une poignée de semaines avant de nous rendre compte que l'amitié était plus forte que tout. Nous avons rompu sur un commun accord et sommes restées proches. Je n'hésite pas à t'envoyer des lettres et à venir te voir le week-end.

Tu étais une professeure, puis tu es redevenue une jeune adolescente timide. Je suis venue te voir sans grande peur et ai engagé la conversation. Tu semblais particulièrement gênée et réticente à l'idée d'une amitié entre nous. Pourtant au fil des semaines, nous avons fini par nous rapprocher, un peu trop non? Tu te souviens de ce rendez-vous au cinéma et de ce baiser qu'on a échangé? Je ne parlerai pas de la Saint Valentin qui a failli briser tout ce que nous avions construit. Notre couple a tenu quelques mois avant que tu ne te mettes à  tomber malade de ton côté. Tu as disparu et je me suis sentie particulièrement détruite. Nous nous sommes finalement revues et nous avons mis les choses au clair. Les lettres se font rares, mais nous gardons contact.

Tu es venue m'embêter alors que je faisais mes devoirs dans le parc, mais je suis rapidement entrer dans ton jeu et j'ai bien cru que tout ceci mènerait vers quelque chose de durable. Tu m'as fait ouvrir les yeux sur le monde et sur mes passions, tu m'as aidé à épanouir et quelques baisers ont été volés. Je suis tombée amoureuse de toi, je n'ai pas à le cacher. Hélas, ce fameux mois de janvier, tu n'es jamais revenue au château et l'annonce de ta mort a brisé mon cœur. Ceci a signé mon déclin vers une dépression incontrôlable que j'ai tenté de cacher. Tu me manques et tu me manqueras toujours. Je te considère comme mon seul et vrai amour.

Lors de mon séjour à Ste Mangouste, tu venais souvent me voir pour parler de la pluie et du beau temps, mais aussi de mon psychomage que tu trouvais étrange. Au fil de nos conversations, tu m'as fait comprendre que quelque chose n'allait pas et doucement j'ai ouvert les yeux. Grâce à toi, j'ai pu m'échapper de son emprise et tu as été là pour poursuivre mon traitement.

Quand je t'ai rencontré, tu étais encore infirmière à Ste Mangouste et tu venais m'apporter ce dont j'avais besoin. Ce que je ne savais pas, c'est que tu étais une amie de ma très chère mère. Tu as été douce et patiente avec moi, tu m'as aidé à retrouver le goût des autres et du dialogue. Tu n'as pas fuit lors de mes crises et je t'en suis grandement reconnaissante. Depuis ma sortie de l’hôpital, tu m'invites souvent chez toi pour m'occuper de ta fille ou pour simplement passer le temps. Ta maison est mon second chez moi..

Nous nous sommes croisées plusieurs fois au château, mais n'avons jamais vraiment pris la peine de nous parler. Ce fut une fois à Ste Mangouste que tu as finalement pris la parole. Je ne me souviens plus des raisons de ta présence là-bas, mais quelque fois, tu venais traîner avec moi l’après-midi. Je garde de tes nouvelles en t'envoyant des lettres.

Tu travailles à la bibliothèque du château et tu aimes venir traîner à la librairie. Une fois là-bas, tu as le rituel de venir me saluer et me raconter tous les petits ragots du château. De mon côté, je t'aide et t'informe sur les personnes que tu ne connais pas.

Je ne sais pas ce qu'il m'a pris de jouer ainsi avec toi, sûrement parce que je n'étais pas dans mon état normal, mais jamais plus je ne ferai une chose pareille. A mes yeux, tu es une simple élève que j'ai manipulé et je le regrette. J'espère que tu me pardonneras un jour et que tu ne possèdes aucun sentiment à mon égard.

Je ne suis pas une novice en ce qui concerne les fêtes moldues! J'ai passé la fin de mon mois d'août à boire et à danser jusqu'à l'aube. C'est là que nous nous sommes croisés. Je te trouvais plutôt jolie et je n'ai pas hésité à entrer dan ton jeu. Quoi? Un peu de taquinerie et des regards en biais, un baiser échangé. Nous avons gardé contact bien entendu, mais depuis que h'ai officialisé les choses avec Magnolia, je ne sais plus comment me comporter à ton sujet.

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Nous sommes des amis d'enfance, on se connaissait bien avant l'apparition de nos pouvoirs. Déjà petit, tu me faisais faire des choses interdites comme balancer des œufs chez les voisins et couvrir le chien de papier toilette. Nous avons découvert nos pouvoirs à une année d'intervalle, je me souviens avoir été jalouse.
Tous deux à Poudlard, je t'ai fait rencontrer Magnolia et le courant est rapidement passé. Nous sommes tous les deux de grandes personnes désormais et notre amitié n'a jamais été dissoute.

Tu m'as pris sous ton aile après mon entretien pour devenir ta stagiaire. Tu me considères un peu comme ta fille et tu adores me faire découvrir ton métier et ton monde. J'espère pouvoir rester longtemps à tes côtés.

Tu te souviens de notre discussion à la bibliothèque où on a fini par se faire virer parce qu'on faisait trop de bruits? Quelque chose de bien amusant! On a gardé le contact et depuis que je ne suis plus au château, tu as pris l'habitude de me rendre visite à la librairie.

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